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Source : Stéphane Demilly
Stéphane Demilly a adressé une lettre au Président de la République concernant la réalisation du Canal Seine-Nord Europe.
"J'ai souhaité la faire cosigner par mes collègues Patrice CARVALHO, Député de l'Oise, et François-Xavier VILLAIN, Député du Nord, dont les circonscriptions sont également concernées par
l'implantation d'une des plates-formes multimodales prévues le long du tracé.
Voici le texte du courrier:
Monsieur le Président de la République,
Vous êtes pour la réalisation du Canal Seine Nord Europe, ce fabuleux projet qui relancera l'économie régionale par la réalisation et le maintien de milliers d'emplois ?
Faites comme nous, signez cette pétition publique en vous rendant sur le lien ci-dessous !
Source : Stéphane Demilly
Stéphane Demilly, député de la 5e circonscription de la Somme demande à rencontrer Martine Aubry afin d’échanger avec elle sur les initiatives collectives qui peuvent
être prises en faveur du Canal Seine-Nord Europe.
Voici sa lettre:
Madame la Présidente,
Le projet de canal à grand gabarit Seine-Nord Europe représente, comme vous le savez, un enjeu majeur pour les régions du Nord de la France, au premier rang desquelles la Picardie et le
Nord-Pas-de-Calais
Le 14 septembre dernier, lors d'une réunion qui s'est tenue à Cambrai, Alain Gest député UMP et Président de VNF, a tenu à rassurer la population sur le devenir du projet Canal Seine Nord Europe.
Le dialogue compétitif se poursuit contrairement à ce qui a été annoncé.
Mais face à la crise financière, l'Europe doit se mobiliser d'avantage...
"
En avril 2011, le précédent gouvernement a décidé le lancement du dialogue compétitif en vue de
l’attribution d’un contrat de partenariat portant sur le financement, la conception, la construction, l’exploitation, l’entretien, la maintenance et la régénération du futur canal Seine-Nord Europe et de ses aménagements connexes, dont la réalisation de l’infrastructure de quatre plates-formes multimodales.
Le coût global du projet Seine-Nord Europe, plates-formes comprises, avait été évalué, en 2009, par Voies navigables de France (VNF) à 4,3 milliards d’euros. Le plan de financement envisagé reposait, d’une part, sur l’apport d’une subvention publique initiale de 2,2 Md d’euros et, d’autre part, sur un préfinancement du complément par le partenaire privé.
VNF a engagé le dialogue compétitif, avec les deux candidats Bouygues et Vinci, du Canal Seine Nord-Europe en 2011. Sur la partie financière, les propositions initiales d’octobre 2011 dépassaient significativement l’enveloppe retenue au départ par VNF.
Dans ce cadre, il est donc nécessaire d’approfondir la possibilité de financements complémentaires tant de la part de l’Europe, des collectivités publiques que des financements privés.
Par ailleurs, compte tenu du contexte financier international actuel, les candidats rencontreraient des difficultés à progresser sur le financement bancaire de leur partie du projet et les annuités acceptables par VNF et l’Etat qui en ressortiraient. Ceci nécessite d’approcher la commission européenne, la BEI, d’étudier les possibilités de recours aux « project bonds » pour ce projet et d’aller voir les collectivités publiques pour des financements complémentaires.
Source : VNF
Depuis près de 20 ans, au conseil régional de Picardie puis à l’Assemblée Nationale, Stéphane DEMILLY œuvre
sans relâche pour que le canal à grand gabarit Seine-Nord Europe devienne une réalité.
Lancé officiellement par le Président de la République à Nesle en avril 2011, le canal Seine-Nord est LE projet
économique phare de la Picardie et des régions du Nord de la France, tout en contribuant significativement à la lutte contre le réchauffement climatique grâce au transfert prévu vers la voie
d’eau de 500 000 poids-lourds par an à horizon 2020.
L’intérêt et la rentabilité de ce « projet du siècle » ont été confirmés et étayés par de nombreuses études, et les territoires concernés se mobilisent depuis des années pour préparer son arrivée
et en tirer profit. Lors de la campagne des élections législatives, les habitants de l’Est de la Somme avaient ainsi manifesté massivement leur soutien à ce projet porteur d’emplois et
d’activités.
C’est pourquoi, inquiet de certaines rumeurs et des déclarations de certains membres du nouveau Gouvernement, Stéphane DEMILLY, dès le lendemain de sa réélection le 17 juin dernier, a alerté le
Premier Ministre Jean-Marc AYRAULT sur la nécessité de confirmer sans attendre la volonté du Gouvernement de réaliser le canal Seine-Nord. Hier soir encore, en Commission du développement durable
à l’Assemblée Nationale, il a interpellé à ce sujet le nouveau Ministre des Transports Frédéric CUVILLIER.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le scepticisme ouvertement affiché du Ministre dans sa réponse, sa volonté de réunir une énième commission pour évaluer le projet et son souhait de
remettre en cause le plan de financement et le recours au partenariat public-privé (PPP) qu’il a fallu des années pour négocier…ont plutôt fait l’effet d’une douche froide ! Le Gouvernement
voudrait enterrer le canal Seine-Nord ou le renvoyer aux « calendes grecques », il ne s’y prendrait pas autrement ! « Quand je veux enterrer un problème, je crée une commission », disait déjà
Georges CLEMENCEAU…
Stéphane DEMILLY tire par conséquent la sonnette d’alarme et dénonce l’irresponsabilité d’une décision qui, si elle était confirmée, représenterait un phénoménal gaspillage d’argent public
(des millions d’euros ont déjà été engagés pour les travaux préparatoires) et briserait net
l’espoir de régions durement touchées par la crise.
Il appelle les élus locaux de toute tendance politique, les acteurs économiques et les citoyens à se mobiliser pour défendre avec force le projet auprès du Gouvernement.
Source : Stéphane Demilly
Suivez ci dessous les différentes parutions de VNF concernant le projet du Canal Seine Nord Europe
Le magazine "L'Entreprise" aborde dans son mensuel de mars 2012 le thème de la gestion des transports et de la logistique en temps de crise.
Transport routier, ferroviaire, maritime, la voie fluviale est dans l'attente du canal Seine Nord Europe pour augmenter ses capacités et multiplier les échanges.
Voir l'article ci-contre.
Une grande partie des acteurs de notre région : élus, entreprises, médias se mobilisent pour que ce projet aboutisse malgrè la réticence de certains partis politiques qui pourraient l'entérinner en 2012 (voir l'article).
Stéphane Demilly député de notre circonscription pose la question à Eva Joly candidate à la présidence d'EELV.
Retrouvez ci dessous la lettre ouverte de notre député.
Dans le cadre de l'accroissement de l'activité de la zone aéronautique de Méaulte par l'implantation d'Aérolia et d'entreprises sous-traitantes, la CCI d'Amiens Picardie en partenariat avec la Communauté de Communes du Coquelicot et le Conseil Régional de Picardie projettent la création d'un Tech-Village c'est à dire un ensemble immobilier offrant des bureaux et des ateliers à des entreprises industrielles ou de services (au total 3 400 m2 de bureaux et 7 000 m2 d'ateliers).
Les travaux seront réalisés en deux phases, la première pour la construction d'un immeuble de 1 700 m2 divisé en bureaux de 100 m2 minimum, fin des travaux juin 2013. La seconde phase comprenant les ateliers de production d'un total de 3 590 m2, pour un début de travaux à compter de 2014.
Ce village d'entreprises sera implanté à proximité d' Aérolia et de l'aéroport Albert-Picardie ainsi que du centre de transfert technologique régional Industrilab, un sérieux atout pour le quotidien des PME-PMI de ce village.
Source : infos CCI - juin 2011
Un syndicat mixte ouvert pour gérer les plates formes.
La Picardie disposera de 3 plates formes d'activités multimodales : 1 à Noyon, 1 à Nesle et 1 autre à Péronne. Ces plates formes permettront sur un même espace de faire disposer de plusieurs moyens de transports qu'ils soient ferroviaires, routiers ou fluviaux.
La constitution d'une structure d'aménagement des plates-formes multimodales sour la forme d'un syndicat mixte ouvert (SMO) vient d'être avalisée. Cette structure fonctionnera selon les règles de gouvernance définies en commun par l'Etat, Voies Navigables de France (VNF), les Ports, les Conseils Généraux et Régionaux et les autres parties prenantes invitées à contribuer à son financement.
Le besoin en finacement de ces plates-formes est estimé à 500 millions d'euros hors taxes, comprenant une première phase estimée à 400 millions d'euros pour la mise en service à l'ouverture du canal en 2016, et une seconde phase estimée à 100 millions d'euros à réaliser en 2020.
source : la Chronique Picarde du BTP
Péronnais, nous connaissons tous depuis longtemps "le moulin Damay" à Péronne près des étangs de la Somme. Nul peut le manquer ! Cette grande bâtisse s'impose rue de Paris face aux étangs. Aujourd'hui laissé à l'état d'abandon, il fût un site de moulin en 1870 exploité par le Sieur Damay avec une roue Sagebien de 8 m de diamètre et 4 m de largeur. Entre 1921 et 1928 il fût transformé en minoterie sous la dénomination "les Grands Moulins de Péronne". L'activité cessa avant 1962 et le bâtiment fût désaffecté pendant près de 50 ans.
Le président Nicolas Sarkozy a lancé officiellement la dernière phase pour le chantier du canal Seine-Nord à Nesle ce mardi.
Il a fait escale ce midi en Picardie et a atterri en fin matinée à Licourt, près de Nesle. Son hélicoptère s'est posé sur le stade de football de la commune.
Le président a d'abord visité le chantier d'abaissement de l'A29 qui à terme passera sour les péniches. Cet ouvrage d'art, le pont canal, est un des plus importants du tracé dans notre région.
Nicolas Sarkozy est resté une petite demi heure sur place, discutant avec des ouvriers.
Le chef de l'Etat en présence de tous les élus locaux concernés, et de la ministre de l'Ecologie Nathalie Kosciusko-Morizet ont ensuite pris la route vers le gymnase de Nesle pour une table ronde.
«Le dialogue compétitif, on le lance aujourd'hui», a affirmé M. Sarkozy, précisant que le projet serait achevé «en 2016-2017».
«Ce projet est central (...). C'est un projet de 4,5 milliards d'euros», a ajouté le président, en affirmant que «la réponse d'un pays à la crise n'est pas la rétractation, c'est au contraire l'investissement».
Le canal, ce sera «4.500 emplois et, à terme, 25.000 emplois nouveaux», a-t-il fait valoir.
Le «lancement du dialogue compétitif» doit désormais départager Bouygues et Vinci pour la construction de l'ouvrage.
Source "Le Courrier Picard".
Lire aussi :
L'entreprise DDM a réalisé il y a quelques jours les travaux de câblage provisoire au gymnase de Nesle pour permettre l'installation du réseau téléphonique présidentiel.
Nicolas sarkozy se rendra dans la Somme ce mardi 5 avril pour parler de "l'avenir du transport fluvial". La nouvelle vient d'être publiée sur le site officiel de l'Elysée.
Le chef de l'État visitera à 10h15 le chantier d'abaissement de l'A29, financé par l'État dans le cadre du Plan de relance, et préparant le passage du futur canal Seine Nord Europe. A 11 heures,
il présidera, à Nesle, une table ronde, sur l'avenir du transport fluvial, en présence de l'ensemble des élus et des acteurs économiques concernés par le tracé et l'activité du futur canal Seine Nord Europe.
Le président de la République sera accompagné par Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, Thierry Mariani, Secrétaire d'État
chargé des Transports et Jean-Louis Borloo, ancien ministre, député du Nord.
source : Le Courrier Picard
Le Canal Seine Nord !
Un vaste projet, un chantier titanesque ! Le chantier que l'on attend tous, celui redonnera un nouveau souffle à notre économie locale.
Pour suivre l'évolution locale je vous invite à consulter ce blog.